J'ai évidemment profité de ce regain d'énergie assez étonnant du Soleil pour récolter et tester la moindre averse alors que nous étions en sévère tempête magnétique G4 et de radiations S2. Il n'y a eu aucune précipitation depuis la S3 d'hier qui est en pente descendante à S2 au moment d'écrire ces lignes.
Voici par exemple 2 tests sur 2 échantillons différents collectés en un peu moins de 5 minutes d'intervalle samedi le 9 septembre à 12h52. Ce sont des lectures sur 10 minutes comme toujours pour maximiser la précision (vous devez diviser le chiffre affiché). Le premier résultat a donné 465 coups, donc 46.5 CPM. Le second est probablement le plus bas de l'année avec 383 coups = 38,3 CPM. Je considère 30-35.0 comme la norme.
La même journée (15h40), voici le résultat dans l'air à 1 mètre du sol avec l'appareil à la verticale (pas vers le sol, je le tourne pour prendre le cliché à la fin). 33.9 CPM, alors que dernièrement quand le Soleil était très calme avec un indice Kp de 0-1 et peu de trou coronaux et de taches solaires, j'avais jusqu'à 39.8 CPM. L'indice de l'air varie très peu sans précipitation.
La veille (vendredi à 14h25):
Voici un autre relevé sur la pluie samedi le 9 septembre à 16h56:
Il y a quelques années, beaucoup m'ont obstiné en me disant que les pics étaient causés par le Soleil, en partie aussi par ma géolocalisation (Québec) et le champ magnétique qui dirige une partie des particules vers les pôles. Mais j'ai énormément de résultats et d'observations qui contredisent cette possibilité (le Soleil). Il s'agit vraisemblemement d'un mélange de rayonnements cosmiques et telluriques.
Commenter cet article
Isabelle 13/09/2017 15:40
Carlos Ramirez 13/09/2017 16:27
rocbalie 12/09/2017 21:56
Carlos Ramirez 13/09/2017 16:09